Ah Ah Ah Ah ! Qu’est-ce que j’ai ri !

 

Ce matin, rendez-vous à la banque.

Je ne vous cache pas que j’adore ça.

Je vis une sorte de jubilation, un plaisir que j‘étais loin d’imaginer dans ma jeunesse.

 

J’ai tellement été malmené, par les responsables de compte, que m’y rendre aujourd’hui, alors que les comptes sont au beau fixe, est un véritable plaisir, une promenade de santé. Si vous ne
connaissez pas ce sentiment, je supplie les oracles pour que vous le viviez un jour. Imaginez…

 

Pas de stress, on y va comme à la maison, pas obligé de chercher des arguments approximatifs pour faire passer la pilule d’un découvert à venir, dont on n’ose pas parler. Combien de fois j’ai dit
à des banquiers qui me faisaient la morale : « Maaa Nooooon, ne vous inquiétez pas, j’ai aucun débit prévu », alors que je venais de faire un gros chèque une demi-heure avant, pour payer
je ne sais quelle charge.

 

Le sourire Gips et la raie au milieu, je faisais le fils de bonne famille, responsable et sérieux, je m’appliquais avec les : « Oui, je comprends… Bien entendu, on va régler tout ça… ».

 

Combien de fois, j’ai pris l’air sûr de moi pour leur dire : « J’ai un contrat en négociation, ça prend un peu de retard, mais je m’accroche parce que c’est très bien payé ! Je peux rien vous
dire pour le moment, mais… »
, alors que dans ma tête, question job c’était le désert de Gobi.

 

Bref, J’attendais mon banquier, un petit homme un peu rond, une bonne bouille, un bon esprit, sûrement le type le plus mal organisé du pays (chaque fois qu’il se met à chercher un papier, je peux
aller boire un café, je sais qu’il en a pour 20 minutes…), mais c’est un gars bien.

 

Ce matin, il n’était pas là.

 

C’est Monsieur Favre qui est venu à sa place s’excusant platement parce que le bon banquier était malade, comme si c’était une hérésie, limite une faute professionnelle.

 

Je me suis dit que, côté solidarité, ce serait pas le champion du monde.

Mais bon… Il était marrant… Un peu gendre idéal, belle cravate, joli costume et la raie sur le côté, on venait de le sortir de sa boîte, je pense.

 

Il me reçoit, on passe les conversations de circonstance…

 

« Vous êtes daaaans… » dit-il en laissant en suspend histoire que je termine sa phrase. J’ai failli répondre : « … dans votre bureau », mais j’ai dit « …Internet ».

 

Et là, j’ai vu sa moue… Internet… ça sonnait comme un gros mot à ses oreilles.

 

« Et, vous faites quoi ? Vous faites des sites ? »

« Oui, en quelque sorte… »

« Des blogs ? »

« Oui, des blogs aussi »

« Et ça marche ? »

Là, j’ai hésité et puis j’ai dit : « On vivote… »

 

Moue sur son visage l’air de dire : « Bah ouais mon bonhomme, pourquoi t’as pas fait banquier, aussi hein ?! »

 

Puis il a ouvert son ordinateur, a tapoté les chiffres de mon compte… et, alors qu’il aurait pu attendre juste deux secondes, il a parlé trop tôt :

 

« Moi, Internet, j’y crois pas trop… (chargement de mes codes sur son ordinateur) …pour parler de ses passions, c’est bien, mais pour le business… (ouverture de ma page sur
son écran)... j’y crois pas… ça rapporte rien… »

 

Il regarde les soldes des comptes… Puis son regard se concentre une seconde… et se tourne lentement vers moi avec un sourire idiot.

 

Avant même qu’il ne dise un mot, j’ai attrapé le coche. « Vous y croyez pas trop ?… C’est marrant, j’entends souvent cette phrase : « Internet, j’y crois pas trop. » Au début, j’étais un peu
sceptique… Comment ne pas croire à Internet ? C’est comme si on me disait : « Le marteau ? Je sais pas… J’y crois pas trop. » Ou bien ? « La chemise à manches courtes ? Je sais pas… T’y
crois, toi ? »

 

(Tronche du banquier embarrassé).

 

« Internet est un outil, vous savez… comme le marteau ou la pioche. On n’a pas à y croire ou non, c’est juste un outil. Si vous êtes un piètre menuisier, un bon marteau ne va pas vous aider
à devenir meilleur, même un superbe marteau. Si vous n’arrivez qu’à vous massacrer les doigts, c’est pas le prix du marteau qui va arranger les choses ».

 

(Il opine d’un air de dire : « ben ouais, penses-tu… »)

 

J’insiste: « Et la chemise à manches courtes ? Peut-on considérer qu’on doit y croire ou pas ? La chemise à manches courtes pourrait être considérée comme un « modèle », à vous d’en faire un
sublime modèle, de luxe ou un modèle basic, mal coupé avec un coton qui peluche et rétrécit au lavage. C’est pas la chemise à manches courtes le problème, c’est, une fois de plus, celui qui la
dessine ou la fabrique (et peut-être même celui qui la met). »

 

(Il se jette sur l’occasion avec un « Ahahah ! »)

 

Mais, je ne lâche pas: « Internet, c’est la même chose. Internet est un support, un outil, un modèle, mais sûrement pas un produit. »

 

Il attrape la fin de la phrase pour placer : « Pour vous ça marche, vous êtes l’exception qui confirme la règle…. Mais vous avez dû bosser dur pour ça non ? »

 

Et là, j’ai hésité…….

 

J’ai failli lui dire : « Vous savez, il suffit de se former, d’apprendre tout simplement… Il y a des types sur Internet qui partagent toutes leurs connaissances… Si on suit, y’a pas de
raison d’échouer. On peut même gagner entre 1000 et 2000 euros par mois assez rapidement »

 

… Mais j’ai pas eu envie. J’ai préféré lui laisser penser que c’est dur et que le fait de gagner 10 fois son salaire, c’est au prix de longues heures de travail, seul dans un bureau à peine
éclairé, mes lunettes sur le bout du nez.

 

J’ai fini par dire : « Oui, c’est beaucoup de travail… ».

 

J’ai vu sa bonne tête de gendre idéal reprendre des couleurs. Il venait d’avoir raison, il était content de lui.

 

On a fait nos petites affaires, je le regardais en rajouter sur la crise et la difficulté générale… il pataugeait dans sa vision négative du monde avec un air de celui à qui on la fait pas.

 

Je suis parti. Finalement, il ne saura rien.

 

Dans la rue, je n’ai pas pu retenir un petit rire. Pas moqueur, mais un petit rire heureux.

 

J’ai remercié en silence les dizaines de gens qui m’ont aidé à avancer, à prospérer, au-delà des idées préconçues sur le monde, la crise et les trucs auxquels les banquiers ne croient pas.

 

 

Je ne lui ai rien dit… Mais à vous je vais le dire.

 

>> Oui, il y a des gens qui partagent leurs connaissances.

 

>> Oui, il y a des gens qui peuvent vous expliquer comment, en quelques mois, en investissant 50 euros par an (moins que le prix de ses costumes), ils réussissent à générer entre
5000 et 7000 euros par mois.

 

>> Oui, il y a des gens assez généreux et brillants pour vous aider à avancer au-delà des idées préconçues, que ce soit sur l’Internet ou sur la crise, et qui, en toute légalité,
avec passion et enthousiasme, vont vous aider à construire votre autonomie financière.

 

>> OUI, il y en a, OUI, ils existent.

 

 

Un exemple ? Aurélien Amacker.

 

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  • Qui sauront comment utiliser leur blog, comment le monétiser, comment en vivre confortablement.
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Faites comme elles, allez l’écouter, ne serait-ce qu’une fois.

 

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  • Vous comprendrez que c’est possible.

 

  • Vous verrez s’ouvrir devant vous la possibilité d’aller, vous aussi, à la banque, mais cette fois avec le sentiment que c’est VOUS qui avez raison.

 

  • Vous voyagerez avec lui sur une ile paradisiaque, au large des côtes Brésiliennes.

Faites-vous ce plaisir.

 

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En toute amitié.

 

Laurent Marchand

 

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